Inspirée d’une phrase de William Shakespeare dans La Tempête :
« Nous sommes de l’étoffe dont on fait les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil ».
Des artistes nous proposent leurs interprétations à retrouver Au Musée Français de la Carte à Jouer (rue Auguste Gervais, à Issy-les-Moulineaux).
D’un lieu à l’autre, des installations sont à voir, après avoir découvert l’exposition au Musée de la Carte à Jouer, du 13 septembre au 12 novembre.
La vie n’est donc faite que Rêves confrontés à la réalité une fois réveillé ? Le sommeil est un espace d’évasion que nous fait visiter la biennale.
Vérité colorée d’illusion à découvrir également en Off au NIDA, Nid d’Idées d’Avenir (promenade Cœur de Ville), à l’EFB l’École de formation des Barreaux (rue Pierre-Antoine Berryer) et à la Médiathèque du centre-ville (rue du Gouverneur Général Eboué).
Toutes les disciplines participent de cette inventivité : dessin, peinture, céramique, photographie sculpture, le virtuel offre sa part d’exploration vers d’autres dimensions. Sortilèges, divagations, absence, éternité, l’inconscient nous entraine vers un état de confusion mais nous rappelle qu’il est important de rester conscient en entrant dans le monde du rêve pour devenir lucide.
Une soixante d’artistes réunit par la présidente de la biennale Sophie Deschamps-Causse et la commissaire Anne Malherbe.
Comment ne pas penser au Sang d’un poète, le premier film de Cocteau qui mène par des effets spéciaux, des jeux de miroirs, son poète jusqu’à un royaume idéal.